Tout Haiti

Le Trait d'Union Entre Les Haitiens

Analyses & Opinions

Le régime Martelly Lamothe a qualifié de « Ravèt » (Cafards) les membres de la véritable opposition

Rudy-heriveaux-cafard-ravet-tout-haitiRudy Heriveaux en mode Cafard

Tout Haiti présente un éditorial du gouvernement Martelly-Lamothe traitant les leaders de la vraie opposition de Ravèt (cafards). Liliane Pierre Paul l'une des rares journalistes et directrice d'opinion à prendre une position de rejet ferme sur cette nouvelle escalade dans les attaques du régime contre l'opposition avait fait remarquer que c'est la même appellation utilisée lors du génocide au Rwanda des Tutsis et des Hutus modérés par la majorité des Hutus. Et Marvel de faire remarquer il n'y a qu'une seule chose que nous faisons des Ravet ...on les tue avec « talon soulye nou ». C'est cela le message du régime qui est prêt à éliminer les cafards c'est-à-dire les membres de l'opposition.

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Oú est passé Kita Nago?

kita nago

Oú est-il passé, ce gros bout de bois poli que des bambocheurs ivres de clairin transportaient ă bout de bras de la grand Anse au Nord’ouest d’Haiti au son du Compas direct ? Qu’est-il advenu de ce gros bout de bois? A quoi sert-il aujourd’hui, ce bois? Autant de questions qu’on ne se lasse de se poser et de poser ă ceux-lă qui ont eu la brillante idée de l’immortaliser.

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Haïti : La Crise Politique en Perspective (par Castro Desroches)

caricature -martelly interview tv5

« Aucun tyran ne modifie spontanément sa manière d’être même après de sérieux revers(…). Penser différemment lui est rigoureusement impossible, et il est insensible à tout argument autre que la force. Mis en difficulté, un despote recule mais ne change pas. Aussi, toute négociation est-elle inutile, elle n’aboutit au mieux qu’à de pseudo-accords, non respectés. » Maurice Berger, La Folie Cachée des Hommes de Pouvoir.

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La Malédiction de Dessalines poursuit un bandit légalisé par la démocratie

martelly francois hollande

Michel Martelly est vide. Faussement modeste, sa mégalomanie, son exhibitionnisme complusif, et surtout sa superficialité l’ont porté á se deculloter sur les plateaux de TV5, un media que les Haitiens ne tiennent pas compte se son rôle: vendre l’image de la France. Quelle France? Celle qui traine son passé colonialiste, une image qu’elle ne se départit pas. Au contraire, elle la consolide dans le cadre de sa politique internationale actuelle qualifiée de néo-coloniale. En Afrique, tout le monde attribue á RFI, TV5, France 24 le titre de Medias coloniaux. Quant au journal le Monde, personne ne doit ignorer que sa présence sur le plateau a été de completer la tâche des autres confrères puisqu’un tel media est subventionné par le Trésor public Francais.

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Voici ce que pense un Journal Allemand de Michel Martelly

sweet-mickey-michel-martelly-in-berlin

Voici quelques extraits d'un article du FAZ traduit par une amie d'un ami. Commençons par la conclusion!

«SI LES PROBLÈMES AVAIENT ÉTÉ AUSSI IMPORTANTS, LE PREMIER MINISTRE (Laurent Lamothe) ME L'AURAIT DIT»

SELON MARTELLY « HAÏTI NE FAIT PLUS PARTIE DES ÉTATS NARCOS»

Que dit le dernier rapport de l'État américain à ce sujet ? MARELLY

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Le père Dessalines et les sans repères (2 de 2) par Leslie Pean

dessalines artiste haitienPhoto: Dessalines (volontaire haitien) - par Jean Marc Herve Abelard

Par Leslie Péan, 25 octobre 2014 ---  Le père Dessalines ou, pour mieux refléter notre inconscient, Dessalines le père, avait une maîtresse dans chaque ville importante du pays. Les folles dépenses de ces égéries étaient couvertes par le Trésor public. Dans le cas de l’une d’entre elles, une mulâtresse du nom d’Euphémie Daguilh de la ville des Cayes, les vérifications de Balthazar Inginac révèlent qu’elle dépensait mille gourdes par jour. Le scandale était patent et Dessalines fut obligé de diminuer son allocation à huit cent gourdes par mois. Les maîtresses de Dessalines dans les autres villes du pays, dont la danseuse Couloute, n’étaient pas prêtes à accepter un traitement différent. C’est aussi le cas pour les maîtresses des autres généraux entourant l’Empereur qui voulaient jouir d’un train de vie exceptionnel aux frais du Trésor public.

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